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Discussion autour du livre Solidarité animale : Défaire la société spéciste
Malgré la visibilité croissante de la « question animale », la confusion règne parmi ses divers commentateurs. Les termes dans lesquels le débat est posé, y compris dans les milieux progressistes, empêchent d’en comprendre les enjeux véritables.
Cet ouvrage, en dévoilant l’impasse théorique, éthique et politique dans laquelle nous enferme la société spéciste, clarifie les réflexions développées par le mouvement antispéciste en France. Proposant une synthèse claire et accessible, Axelle Playoust-Braure et Yves Bonnardel montrent en quoi le spécisme est une question sociale fondamentale et plaident en faveur d’un changement de civilisation proprement révolutionnaire.
Nous reviendrons avec l’autrice sur la genèse du livre, les origines théoriques et militantes dans lequel il baigne, pour ensuite plonger dans le contenu et continuer la conversation avec le public.
Conférence à propos de Zoopolis : Une théorie politique des droits des animaux
Cette intervention se base sur cet article publié dans Mouvements début janvier.
L’antispécisme consiste à prendre au sérieux ce que vivent les autres animaux, intimement, à la première personne, en eux-mêmes et pour eux-mêmes : leurs désirs, leurs préférences, leurs besoins. L’abolition des institutions de l’exploitation animale est donc un excellent départ (pour ne pas dire le strict minimum) et une préoccupation légitime des mouvements antispécistes. Mais ce principe de non-nuisance ne sera pas suffisant, car la justice envers les autres animaux ne revient pas à mettre un terme à toute relation avec eux.
Parce que certains sont membres de nos foyers et de nos communautés, que d’autres vivent parmi nous en milieu urbain, que d’autres encore vivent dans la nature mais entrent régulièrement en contact avec des infrastructures humaines, il nous faut réfléchir à la façon de partager les ressources et les lieux, de prendre en considération leurs intérêts et leur agentivité. Autrement dit, l’abolition de l’exploitation animale est le point de départ, et non le terme du projet antispéciste.
de l’urbanisme, de l’éthologie, de la géographie et de bien d’autres disciplines. C’est cette approche que développe Axelle Playoust-Braure dans sa conférence, en s’inspirant notamment de l’ouvrage de théorie politique Zoopolis, co-écrit par Sue Donaldson et Will Kymlicka.
Pour tous les événements les modalités sont les mêmes :
Dû au contexte covidiste et à la taille de la salle, le nombre de participants est limité à 25 pour chaque événement. La réservation se fait par mail à infokiosque-besac@riseup.net ou en venant nous voir les mardis après-midi.
L’adhésion à SCOPS (la structure qui nous accueille) est obligatoire à l’entrée, avec un prix minimum de 1€. Cela sert à financer le local, qui en a bien besoin.
En parallèle une caisse prix libre est proposé, dont la récolte servira à financer la venue des intervenantes (défraiements etc.) et l’organisation des événements. Le surplus ira soit aux intervenantes soit à l’infokiosque pour de prochaines soirées !
Sur place des brochures seront présentes, concernant le sujet bien sûr mais aussi plein d’autres ! Des boissons seront aussi vendu par SCOPS. Pour des raisons covidiennes le masque devra être porté à l’intérieur.
L’ouverture des portes se fera chaque jour trente minutes avant le début de l’événement, donc à 19h mercredi et jeudi, et à 18h le vendredi.
Discussion autour du livre Solidarité animale : Défaire la société spéciste
Malgré la visibilité croissante de la « question animale », la confusion règne parmi ses divers commentateurs. Les termes dans lesquels le débat est posé, y compris dans les milieux progressistes, empêchent d’en comprendre les enjeux véritables.
Cet ouvrage, en dévoilant l’impasse théorique, éthique et politique dans laquelle nous enferme la société spéciste, clarifie les réflexions développées par le mouvement antispéciste en France. Proposant une synthèse claire et accessible, Axelle Playoust-Braure et Yves Bonnardel montrent en quoi le spécisme est une question sociale fondamentale et plaident en faveur d’un changement de civilisation proprement révolutionnaire.
Nous reviendrons avec l’autrice sur la genèse du livre, les origines théoriques et militantes dans lequel il baigne, pour ensuite plonger dans le contenu et continuer la conversation avec le public.
Conférence à propos de Zoopolis : Une théorie politique des droits des animaux
Cette intervention se base sur cet article publié dans Mouvements début janvier.
L’antispécisme consiste à prendre au sérieux ce que vivent les autres animaux, intimement, à la première personne, en eux-mêmes et pour eux-mêmes : leurs désirs, leurs préférences, leurs besoins. L’abolition des institutions de l’exploitation animale est donc un excellent départ (pour ne pas dire le strict minimum) et une préoccupation légitime des mouvements antispécistes. Mais ce principe de non-nuisance ne sera pas suffisant, car la justice envers les autres animaux ne revient pas à mettre un terme à toute relation avec eux.
Parce que certains sont membres de nos foyers et de nos communautés, que d’autres vivent parmi nous en milieu urbain, que d’autres encore vivent dans la nature mais entrent régulièrement en contact avec des infrastructures humaines, il nous faut réfléchir à la façon de partager les ressources et les lieux, de prendre en considération leurs intérêts et leur agentivité. Autrement dit, l’abolition de l’exploitation animale est le point de départ, et non le terme du projet antispéciste.
de l’urbanisme, de l’éthologie, de la géographie et de bien d’autres disciplines. C’est cette approche que développe Axelle Playoust-Braure dans sa conférence, en s’inspirant notamment de l’ouvrage de théorie politique Zoopolis, co-écrit par Sue Donaldson et Will Kymlicka.
Pour tous les événements les modalités sont les mêmes :
Dû au contexte covidiste et à la taille de la salle, le nombre de participants est limité à 25 pour chaque événement. La réservation se fait par mail à infokiosque-besac@riseup.net ou en venant nous voir les mardis après-midi.
L’adhésion à SCOPS (la structure qui nous accueille) est obligatoire à l’entrée, avec un prix minimum de 1€. Cela sert à financer le local, qui en a bien besoin.
En parallèle une caisse prix libre est proposé, dont la récolte servira à financer la venue des intervenantes (défraiements etc.) et l’organisation des événements. Le surplus ira soit aux intervenantes soit à l’infokiosque pour de prochaines soirées !
Sur place des brochures seront présentes, concernant le sujet bien sûr mais aussi plein d’autres ! Des boissons seront aussi vendu par SCOPS. Pour des raisons covidiennes le masque devra être porté à l’intérieur.
L’ouverture des portes se fera chaque jour trente minutes avant le début de l’événement, donc à 19h mercredi et jeudi, et à 18h le vendredi.
Les Aggloméré·e·s développent des imaginaires féministes qui explorent la dystopie capitaliste, raciste et patriarcale, pour en faire un terrain d’ouvertures et de prises de force. Formé·e·s aux pratiques d’éducation populaire, nous mettons en place des animations qui facilitent le partage de la parole, la diversité des points de vue et la création collective.
Dû au contexte covidiste et à la taille de la salle, le nombre de participants est limité à 25 pour chaque événement. La réservation se fait par mail à infokiosque-besac@riseup.net ou en venant nous voir les mardis après-midi.
L’adhésion à SCOPS (la structure qui nous accueille) est obligatoire à l’entrée, avec un prix minimum de 1€. Cela sert à financer le local, qui en a bien besoin.
En parallèle une caisse prix libre est proposé, dont la récolte servira à financer la venue des intervenantes (défraiements etc.) et l’organisation des événements. Le surplus ira soit aux intervenantes soit à l’infokiosque pour de prochaines soirées !
Sur place des brochures seront présentes, concernant le sujet bien sûr mais aussi plein d’autres ! Des boissons seront aussi vendu par SCOPS. Pour des raisons covidiennes le masque devra être porté à l’intérieur.
L’ouverture des portes se fera chaque jour trente minutes avant le début de l’événement, donc à 19h mercredi et jeudi, et à 18h le vendredi.
Le collectif Resto Trottoir organise une rencontre avec l’historien Valentin Grunenwald pour sa conférence gesticulée « Sortir de l’Histoire nationale et prendre l’histoire populaire ».
Éducation, Identités, Laïcité & Discriminations
> Publics : Adolescent·es/Adultes
> Création : 2018
Ouverture des portes à 20h, et le show commencera à 20h30 ! Ramenez de la monnaie pour donner des tips à nos super performeureuses ! ;^) Il y aura également une vente de boissons sur place !
Ce sera l’occasion pour vous de voir les premiers pas de certain.e.s artistes drags de Besançon ainsi que certain.e.s plus confirmé.e.s ! Il est d’ailleurs toujours possible de s’inscrire pour performer jusqu’à maximum le 31 août !
L’évènement sera hosté par notre duo de choc @_.larcin._ et @yummypees !
L’entrée se fera en adhérant a l’association scops pour un euro et un prix libre.
On s’y voit bientôt ! <3
Affiches par @holzl.dsgn merci beaucoup <3
On se retrouve le 7 octobre à @scops_besac pour AT LEAST WE TRIED, une soirée drag pleine de surprises 👀👀
L’ouverture des portes se fera à 19h30 et le show commencera à 20h !
On remercie @jocquetz pour la super affiche ❤️
Et nos artistes : @freezi.a @yummypees @_.larcin._ @sainteugeneking @joli.roger Jubilax @marvelous.mahdi.d
Et au hosting @kiwees.von.d !
Venez nombreux.ses !!!
PAIEMENT AU BAR UNIQUEMENT EN MONNAIE
Nous sommes de retour ! Avec une scène ouverte qui se déroulera le 20 janvier 2023 !
On se retrouve à Scops, 12 rue des frères Mercier à 20h pour l’ouverture des portes et 20h30 pour le début du show ! Venez admirer les superbes créatures de la House of Detritus ainsi que plusieurs nouvelleaux drags de la scène bisontine !
L’entrée est à prix libre, mais conseillé à 5 euros afin de rémunérer nos performeureuses ainsi que le staff nous accompagnant durant nos shows et 1 euro d’adhésion a @scops_besac !
Pensez également à prendre de la monnaie pour l’entrée, le bar et pour les tips ! 😉
On s’y voit !”
https://www.instagram.com/houseofdetritus/
Détails pragmatiques : Iels vous conseille de prendre de la monnaie pour payer l’entrée (prix libre), les boissons au bar et pour rémunérer leurs performeureuses 🙂
Ces dernières années et plus encore ces derniers mois, nous assistons à un regain d’intérêt pour le partage de la charge contraceptive et les contraceptions dites «masculines» ou testiculaires. Ces méthodes remettent en question l’évidence selon laquelle les personnes menstruées entretenant des relations hétérosexuelles devraient nécessairement porter seules la charge contraceptive. Largement invisibilisées par les pouvoirs politiques et médicaux malgré leur efficacité, ces méthodes restent relativement inaccessibles et méconnues.
C’est pourquoi à Besançon, on propose de se retrouver le samedi 28 janvier, de 14h à 19h, à la SCOPS, pour s’informer sur les contraceptions testiculaires, échanger sur leurs enjeux, leurs limites et leurs dérives potentielles.
Pour réfléchir ensemble sur les rapports de genres, sur les différentes manières de vivre sa sexualité, mais aussi sur l’autonomisation que permet une prise en main de sa fertilité ! Et pour celles et ceux qui veulent mettre la main à l’aiguille, on pourra se lancer dans la fabrication de sous-vêtements contraceptifs super-stylés et s’accompagner dans nos parcours de remontées testiculaires !
contact : letemps-descerises-remontees@riseup.net